10 MAISONS EN BOIS

Huit maisons s’organisent autour d’une cour commune. Deux maisons sont autonomes de l’autre côté du U de la parcelle.
Le niveau rez-de-chaussée des maisons est constant tandis que la cour descend vers la rue Rochebrune. Terrasses d’accès aux maisons et jardins privatifs sont ainsi plus ou moins surélevées, préservant l’intimité des intérieurs.
L’imperméabilisation des sols est limitée au maximum. L’eau de pluie est dirigée vers des citernes de stockage puis, en cas de trop plein, rejetée dans une noue. Les citernes de récupération d’eau de pluie marquent chacune des seuils des maisons.

Dans un souci de commodité, les voitures circulent dans la cour commune et le stationnement s’effectue au plus près de chaque maison. Afin de garantir l’intimité, les maisons sont séparées par des « espaces tampons sonores » (celliers, espaces de jeux, etc…).
Le projet s’installe dans la continuité des implantations observées sur le terrain : il répond aux typologies de la rue Rochebrune et prolonge le cheminement initié par l’opération de la Sente de la Ferme.

Les masses bâties s’organisent de part et d’autre d’une grande cour commune dans un ensemble groupé, compact, qui limite les dépenses d’énergie.
Les espaces laissés non construits (la cour et les jardins) viennent dans le prolongement des espaces libres alentours.